L'École du Chat Libre de Villeparisis est une association régie par la loi du 1 juillet 1901 déclarée en Sous Préfecture de Meaux le 19 juin 1992 et modifiée le 27 mars 2006 n° 0771008210 (J.O. du 22/04/2006).
Autrement dit, cette asso est bien établie, depuis de nombreuses années.
Depuis 1992, L'École du Chat Libre de Villeparisis oeuvre pour la protection des chats errants sur le territoire de Villeparisis en les stérilisant et en les tatouant. Ensuite, elle essaie de faire adopter les adoptables et relâche les sauvages sur le lieu de capture. Cela évite une multiplication de la population féline se soldant par des conditions de vie miséreuses. Cela améliore leurs conditions de vie mais aussi celles des riverains car des chats trop nombreux amènent des nuisances pour leur entourage. De plus, en sédentarisant ces chats, ils occupent le territoire et empêchent d'autres de s'installer.
L'association nourrit des chats libres sur 3 sites de la commune et y a installé des chalets pour y sédentariser la population féline stérilisée et identifiée.
Depuis 2004, la commune a fourni un terrain à l'association qui y a installé la
"maison des Mistigris". Ce lieu comporte des dortoirs, une infirmerie avec cages de convalescence et espace de quarantaine, une structure en dur et une courette intérieure sécurisée avec de nombreux jeux. Un dortoir est également accessible pour des chats de l'extérieur. Evidemment cette Maison affiche toujours complet ... il y a toujours plus de demandes que de places !
Cette Maison permet aux chats de vivre en collectivité, sans cages et avec des visites régulières et prolongées des bénévoles. Des chats sont également placés en Famille d'Accueil (surtout les chatons) pour y attendre leur adoption.
L'adresse de la Maison des Mistigris reste confidentielle pour éviter toute "dépose" intempestive d'animaux devant la porte ...
Les contacts :
É
cole du chat de Villeparisis
Boîte Postale 151
77271 Villeparisis cedexEt un site :
http://chats-villeparisis.voila.net/presentation.htmNous sommes plusieurs à avoir déjà visité la maison des mistigris et nous n'avons qu'un regret : qu'il n'y ait pas plus de place (ou plus de municipalités prêtes à faire cet investissement).